Il ya tout juste un an aujourd’hui, que Apple et IBM ont choqué le monde quand ils ont annoncé un partenariat. Apple, la société de consommation a été consommé équipe avec IBM, le quintessence boutonné-bas société ayant un pedigree de l’entreprise.
Il semblait être le plus étrange des couples impairs, mais un an plus tard et 32 applications, le partenariat semble être florissante et en donnant les deux entreprises ce qu’ils voulaient. Pour Apple, il avait une chance de se renseigner sur l’entreprise et de vendre plus de matériel, et pour IBM, il a été l’occasion de faire un peu de ce logiciel Apple Magic aller dans le monde maladroit de logiciels d’entreprise.
Comme l’a dit le PDG d’Apple Tim Cook au moment de l’annonce, IBM compris les verticales d’affaires d’Apple voulait un morceau de.
“Nous savions que nous avions besoin d’un partenaire qui a compris profondément chacune des verticales,” cuisinier dit CNBC. “Cela a eu échelle, qui a eu beaucoup de saleté sous les ongles pour ainsi dire de vraiment comprendre chacun de ces marchés verticaux et nous avons trouvé une âme sœur dans IBM.”
Katharyn blanc, de leader mondial IBM pour le partenariat IBM Apple m’a dit en Mars, IBM a voulu introduire le «facteur wow» pour logiciels d’entreprise. “Le but de ce partenariat est de mettre à notre vie de travail, la même expérience que nous avons dans nos vies personnelles,” dit-elle à l’époque. Apple a la capacité d’offrir cela.
Jusqu’à présent, il semble que les deux parties ont bénéficié.
Il faut de tout
Sur son visage, ce partenariat semble que cela pourrait être un mélange culturel toxique. Vous avez deux entreprises très différentes façons de faire des affaires se réunissent pour essayer de créer un autre type de produit des logiciels d’entreprise. Analystes je me suis entretenu, cependant, disent que les différences peuvent en fait être une clé pour la réussite du partenariat jusqu’à présent.
“En fait, les différentes cultures fait que cela fonctionne beaucoup plus probable, car ils étaient très complémentaires les uns aux autres. IBM sait comment parler IT et Apple sait comment parler consommateurs / secteur d’activité. En cette journée et l’âge que vous ne pouvez pas vendre dans l’entreprise sans être couramment dans les deux langues, “Jack Gold, principal à Jack Gold Associates dit TechCrunch.
Ils se renforcent mutuellement en fournissant à leurs perspectives uniques. Je regarde IBM / Apple comme le Yin et le Yang de la téléphonie mobile
-. Maribel Lopez, Lopez recherche
Maribel Lopez, directeur de recherche à Lopez est d’accord. “Les entreprises ont réussi à trouver des gens qui partagent des visions similaires, mais avec des compétences différentes. Ils se renforcent mutuellement en fournissant à leurs perspectives uniques. Je regarde IBM / Apple comme le Yin et le Yang de la téléphonie mobile, “dit-elle.
Il ya une application pour ça
Ce que ces entreprises ont essayé de faire est de créer une nouvelle génération de logiciels d’entreprise, celui qui regarde et se sent comme les applications de consommation, mais que des liens vers des systèmes dorsaux d’entreprise. Jusqu’à présent, les entreprises se sont réunis pour résoudre une variété de problèmes impliquant des 10 industries et portant sur quelque 40 rôles d’emploi, selon les informations fournies par IBM.
Cet après-midi, l’équipe déploie 10 nouvelles applications, y compris une suite bureautique hypothécaire, une suite Voyage d’affaires et une suite d’efficacité opérationnelle. Dernière Mars, il a introduit aériennes service à la clientèle des outils de soins de passagers et une suite de l’achat au détail.
Comme je l’ai écrit dans Mars:
Bien que ces applications sont toutes conçues pour simplifier la vie de l’employé, ils ont encore à se connecter en temps réel aux systèmes existants inscrits, généralement sur site dans un centre de données de l’entreprise et cela pourrait être une des raisons qui IBM est si enthousiaste à propos de cette affaire.
Van Baker, un analyste qui observe la mobilité pour Gartner, aime ce qu’il a vu du partenariat à ce point. “Essentiellement, ils sont des applications simples par des processus de back-end fortes. Ils ont un nombre raisonnable d’engagements actifs et un pipeline important pour leurs applications et chaque déploiement de l’application tend à conduire plusieurs engagements supplémentaires afin que la terre et élargir stratégie fonctionne pour eux “, a expliqué Baker.
Looking Ahead
Les entreprises ont indiqué qu’ils espèrent libérer 100 applications d’ici la fin de l’année, mais avec seulement 32 publié en Juillet, qui semble de moins en moins probable. Comme ils se dirigent dans la deuxième année du partenariat, il est très probable plus en jeu ici que d’un simple jeu de nombres.
Comme nous regardons les applications qui sont publiés aujourd’hui, nous pouvons voir qu’ils essaient de réutiliser morceaux pour faire différents types d’applications destinées à divers marchés verticaux tels que la banque, le gouvernement et l’industrie. Ceci est quelque chose de Lopez pense contribuera à accélérer la croissance de la société dans l’année à venir et d’accélérer les cycles de développement.
Baker pense que les partenaires ont besoin de rehausser le profil du projet, quelque chose d’une société de publicité-timide comme Apple a semblé réticents à le faire.
“Accélérer le développement de l’application et de faire plus de bruit à propos de ce qu’ils font. Ils sont allés très haut profil à l’annonce et ensuite modifiés pour profil bas et qui invite la spéculation que le partenariat ne fonctionne pas “, at-il dit.
Apple et IBM ont une occasion unique ici pour changer la façon dont les entreprises achètent, vendent et développer des logiciels d’entreprise. Bien que le projet semble bien se passer, ils ne peuvent pas arrêter maintenant. Ils doivent aller de l’avant et que le monde sache ce qu’ils font.
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